Le jargon des mycologues
La définition de la couleur livide varie d’un mycologue à l’autre, passant d’un blanc plombé à noirâtre, avec des teintes bleuâtres ou verdâtres. Voici quelques exemples :
Marcel Josserand conclu : « Sans doute vaudra-t-il mieux ne pas trop recourir à un mot aussi équivoque. »
Glossaire illustré par Jean Després
Collaboration : P. Dauzet, M. Ledecq, C. Marchand et J. Clément